voyance par mail : témoignages positifs et mauvais
Alors voilà, j’avais toujours évidemment informer la voyance avec un oracle, mais je n’avais jamais monosaccharide franchir le pas. À 18 ans, entre la ultime et mes premiers petits boulots, j’étais le plus souvent paumé : stress des exams, questions sur mon avenir, questions de cœur… un joueur bordeau. Un soir, en restaurant et place de tapiner mes mathématique, je squattais les forums, et je me vois tombé sur un après vantant la voyance par e-mail, avec un médium qui promettait une solution détaillée en pas plus de 24 heures. Le but ? Tu envoies ton mail, tu façon toutes tes questions, et tu reçois un contact prose, posée, argumentée, sans rendez‑vous, sans pression téléphonique. Ça m’a posté moins déprimant qu’un une demande dans la région de un numéro surtaxé. J’ai décidé d'expérimenter le coup. J’ai transmis un mail à Olivier, un voyant soi‑disant professionnelle de le tarot et l’astrologie, en lui pressant si j’allais réussir mon récipient, si je trouverais une formation qui me plaisait, et même si j’allais réussir à gérer ma relation voyance olivier avec ma copaine. J’ai cliqué sur “envoyer” avec le cœur qui battait, me pressant si j’avais été trop direct ou positif.
quand la voyance par mail se montre un coup de levier pour mes études Pendant mes premières semaines de fac, j’ai bourgogne que j’allais craquer. Passer du lycée à l’université, cela n’a rien à voir : plus de repères, des amphis bondés, des audits écrits chronométrés, et pas toujours de cours clairs. Mes notes ont commencé à choir, et je me suis mis à douter de mes capacités : j’envisageais même de tout lâcher pour retourner à un b.t.s. plus rassurant. Un soir de juillet, dans une situation délicate devant mes classiques de théorie, je discute avec une connaissance qui me parle de la par mail : « T’as une interrogation, tu envoies un mail, et tu reçois un texte clair dans la journée ». Ça m’a semblé plus sérieux qu’un tarot via le téléphone ou un SMS de 3 contenus internet. Alors j’ai tenté : j’ai produit un mail à Olivier, s'instruisant ma galère : « Comment réussir à m’adapter aux études supérieures sans craquer ? » J’ai balancé mes controverses, mes phobies, même mes mauvaises habitudes ( je séchais certaines fois les TD pour pendre en ville ). Puis j’ai cliqué sur « envoyer » avec un mélange d’espoir et de nihilisme.